LE LOUP EN BRETAGNE :FRANCOIS DE BEAULIEU S’EST-IL INSCRIT DANS LA PENSÉE INDIGENTE ?

En premier lieu il faut admettre que François de Beaulieu semble s’inscrire en référence établie sur le dossier loup :

« L’Observatoire du loup aime se présenter comme un organisme scientifique faisant autorité par ses expertises sur la présence du loup en France. Mais le manque de sérieux des informations qu’il publie et la recherche du sensationnel pour alimenter les polémiques renvoient de lui une toute autre image. »

Il faut démontrer ici que ses élucubrations nauséabondes sont contredites dès les premières lignes par un document scientifique publié en mai 2023.

Dans un dossier intitulé « LE LOUP Maître des bois et des peurs » le site de l’Observatoire du loup est présenté comme une source d’information page 68 dans un article nommé « Le loup au 20éme siècle ».

Nous n’avons retrouvé aucune trace d’une quelconque production de ce cher François dans ce document concernant le loup. Les contributeurs de ce document scientifique qui sont tous renommés sont:  Agrégée de lettres françaises ou modernes, Docteur en anthropologie, Docteur en Paléontologie, Spécialiste de la Bête du Gévaudan, Historien, Archéozoologue, Anthropologue et préhistorienne, Diplômé d’éthologie appliqué, Chercheur, Docteur en science de l’informatique et Docteur en littérature française. Peut-on croire qu’ils se trompent tous ?

« L’Observatoire du loup aime se présenter comme un organisme scientifique » selon François de Beaulieu qui ne doit pas vraiment maîtriser la lecture des données produites sur le site de l’Observatoire, je cite :

« Localiser-Informer-Alerter » c’est ainsi que l’Odl est présenté sur le site, y compris sur «faunesauvage.fr dont le but est « admirer apprendre agir ». Francois est donc immédiatement dans la désinformation notoire tout à fait remarquable ? Quel peut-être le but de cette bavure évidente en terme de déclaration infondée ?

Sur Twitter le site est présenté ainsi : « Rechercher et collecter les indices et témoignages de la présence du loup, dans une démarche de compréhension, d’anticipation du phénomène de dispersion. »

Bien que de nombreux dossiers sont en rapport avec des publication scientifiques, de nombreuses sources d’études sont citées, ce travail de recherches et de vulgarisations est indispensable à la compréhension des phénomènes en rapport avec le prédateur des herbivores ! C’est une évidence ! Faut-il être ignare pour ne pas le comprendre ?

Mais les boniments ne s’arrêtent pas là :

« L’Observatoire du loup a bien compris que, pour occuper la scène médiatique, il n’y a rien de mieux que de soupçonner, dénigrer, dénoncer, inventer, persifler tout en multipliant les loups au gré de ses étranges stratégies. »

Francois de Beaulieu confond prestement et sans aucune analyse de bon sens, occuper la scène médiatique et s’inscrire dans une démarche de compréhension qui demande bien-sûr de nombreuses heures de travail et d’études. Nous invitons donc François à travailler au lieu de « s’égarer » sur son blog! Quand nous soupçonnons en connaissance de cause, nous travaillons à nouveau, exemple tout à fait récent :

https://observatoireduloup.fr/2023/05/21/ille-et-vilaine-presence-du-loup-en-2023/

Inutile de préciser que nous n’avons croisés personne, sur le terrain, sur la piste du loup, durant ces quatre jours d’investigations de terrain, entièrement à la charge financière, personnelle, des bénévoles présents !

De fait les comptes de François ne sont pas exacts :

« Pourtant un examen de quelques exemples significatifs de la production de l’Observatoire du loup permet de voir qu’il ne produit rien de sérieux mais contribue à une approche trompeuse et inutilement dramatisée des problèmes. »

Dans ses élucubrations informelles : « on peut déduire des éléments présentés que l’Observatoire du loup a pu « expertiser » au total environ 240 animaux sauvages et domestiques en 6 ans. »

Or dans les données publiées par l’Odl, il ressort le décompte suivant :

49 chevreuils

3 cerfs

3 lagomorphes

5 ragondins

soit : 60 proies sauvages et

68 ovins

22 caprins

2 équins

9 bovins

soit : 101 domestiques

soit un total de 161 proies du loup en 6 ans (moyenne : 26/27 proies par an et 2,23 proies par mois)

« Les 240 cas en 6 ans rapportés au loup pour la Bretagne (administrative ou historique ?) n’ont pas été portés à la connaissance de l’Office français de la biodiversité (OFB) et n’ont donc bénéficié d’aucune contre-expertise. »

Compte tenu des témoignages que nous avons reçus et qui sont publiés sur les réseaux sociaux, il faut admettre que les réponses en l’absence officielle du loup, de la part des autorités sont inexistantes ou fantaisistes. C’est un fait établi ! Le témoignage, publié sur le site de l’Odl qui représente un fait concret des réponses obtenues par les témoins de faits inhabituels est formel :

Exemple du 15 février 2022…

« Nous faisons suite à votre mail et nous vous apportons les éléments suivant, le cervidé a été percuté par un véhicule. Des animaux se sont ensuite attaqués à son cadavre mais ce n’est pas un loup car à ce jour il n’y a pas de loup en Bretagne selon les données de l’OFB. »

Les faits sont décrits ici :

https://observatoireduloup.fr/2022/02/20/les-indices-periodes-dactivite-du-loup-en-bretagne/

Concernant les herbivores domestiques, de nombreux animaux de particuliers n’étant pas « bouclés », les déclarations, en mairie, par exemple, ne sont évidemment pas produites, nous invitons François à fréquenter les troupeaux plus souvent ! En l’absence d’information officielle, de présence du loup, les faits inhabituels sont incompris et le cadavre fint dans un trou ou sur le tas de fumier, personne ne semblant vouloir parler de la présence du loup alors qu’elle n’est pas officielle.

C’est justement pourquoi l’Odl cherche à « Localiser-Informer-Alerter » les défauts de moyens humains, techniques, financiers ne permettent pas les investigations pourtant nécessaire ! De fait la présence du loup est officialisée dans tous les départements bretons, alors que l’Office concerné n’a produit aucun élément, se contentant de « certifier » les innombrables photographies et vidéos produites par des éléments externes ou particuliers ! Le loup est présent quand il croque des ovins officiellement, ou presque ! C’est une réalité largement décrite dans toutes les régions de France depuis 2013 et personne à ce jour n’a pu attester que les déclarations de l’Odl étaient inexactes ou même fausses ! C’est une certitude, il suffit de passer quelques jours à explorer les 400 dossiers produits pour en être convaincu…

Concernant les données produites et les dossiers traités à l’Odl, entre 2018 et 2023, le compteur affiche presque 10 000 cas traités !

L’affirmation de De Beaulieu  -« force est de constater que l’Observatoire du loup a une formidable capacité à n’expertiser que des prédations dues au loup. S’il ne s’agit que d’un simple oubli de la part de l’Observatoire du loup, on ne peut alors qu’admirer l’extrême disponibilité, le nombre impressionnant et les étonnantes qualifications de ses membres. »- atteste qu’il ne dispose pas des éléments nécessaires à l’appréciation de nos capacités techniques et d’expertise puisque 60% des dossiers sont écartés en moyenne des faits en rapport avec le loup ! Pourquoi devrions nous communiquer sur des faits qui ne sont pas en rapport avec le canidé sauvage à l’Observatoire du loup?

Poser la question à François, il vous répondra ! Si il a du temps à perdre, car bien-sûr, compte tenu de l’ampleur de la tâche, nous classons sans suite les dossiers en rapport avec des chiens, par exemple, très rapidement.  Contrairement à Francois de Beaulieu nous n’avons pas de temps à gaspiller inutilement en bavardage inconséquent !

Peut-on-croire que les «  membres » de l’Odl, comme ils sont stupidement désignés par François seraient tous des imbéciles-heureux ?

Exemple :

https://observatoireduloup.fr/2019/10/27/les-donnees-du-reseau-loup-sont-elles-fiables/

Les bavardages inconséquent de Francois de Beaulieu à propos du loup en Bretagne  :exemple

« Toujours selon l’Observatoire du loup, la bête s’installera définitivement en Bretagne à partir de 2020. Une thèse farfelue selon de nombreux spécialistes. « Ce n’est pas sérieux. La Bretagne n’offre pas assez de ressources alimentaires ni de grands espaces pour que le loup puisse s’y installer durablement », souligne François de Beaulieu. »

 https://observatoireduloup.fr/2019/07/08/2020-le-retour-du-loup-dans-les-monts-darree/

Depuis cette déclaration sournoise, le loup est présent, officiellement dans tous les départements bretons !

« Il y a aussi l’hypothèse qu’il soit parti très loin et ainsi avoir fait 200 km avant de trouver un coin discret, enchaîne François de Beaulieu. Dans le grand ouest, on n’a pas reçu d’indication de sa présence. Personne ne sait donc où il est. Il peut aussi avoir été tué par une voiture, dont le conducteur a fait disparaître le corps afin de ne pas avoir d’histoire ». Dans les Monts d’Arrée, le cadavre d’un veau aurait récemment été découvert. « Comme rien n’est remonté en préfecture, on est vraiment dans une rumeur sans fondement », insiste François de Beaulieu.

Pourtant les faits précédents sont formels :

https://observatoireduloup.fr/2019/09/26/predation-dun-veau-dans-le-morbihan-loup-non-exclu/

 et de conclure : « Et on ne peut que s’interroger sur les extraordinaires compétences rassemblées pour réaliser autant d’autopsies et conclure à la responsabilité du loup »

Nous organisons une formation le 10 juin 2023 dans les Cotes-d’Armor, nous invitons François à se connecter ici : https://observatoireduloup.fr/nous-contacter/

afin de s’inscrire car il n’a à priori développé aucune compétence sur le sujet dans son laïus de blogueur, j’ai failli écrire blagueur mais j’ai corrigé !

« On dispose d’un exemple révélateur de la qualité du travail de l’Observatoire du loup avec l’affaire de Guerlédan, un des rares cas où les lieux et les témoins étaient suffisamment précis pour qu’une journaliste fasse le travail de vérification qui s’imposait. Dans un article paru dans Ouest-France le mercredi 3 octobre 2018, Isabelle Sigoura réduisait à néant les allégations de l’Observatoire du loup, largement reprises dans la presse au sujet de la présence d’un loup dans la région de Guerlédan. Selon l’Observatoire du loup, le loup avait été vu par un photographe (le 8 septembre) puis il avait attaqué des moutons à Saint-Mayeux le 22 septembre. Hélas pour l’Observatoire du loup, la journaliste avait obtenu, tant du maire que de l’éleveur de moutons lui-même, l’assurance que seuls des chiens étaient impliqués. »

Ici encore, il faut relever qu’il n’y a aucune preuve fournie sur les pseudos erreurs de l’Odl, dans le premier cas, le témoin est un naturaliste connu et assermenté et compétent sur l’espèce, et l’appel à témoin engagée sur le site n’a fait l’objet d’aucune réponse concernant ce pseudo chien sans nom, sans sexe et surtout sans adresse, ni même propriétaire…

https://observatoireduloup.fr/2018/09/28/presence-du-loup-en-bretagne-invitation-a-temoignage-caurel-cotes-darmor/

A ce jour ce chien n’existe pas ! Aucun témoignage ne nous est parvenu à ce sujet :

Concernant Saint Mayeux les données produites sont validées par un intervenant du réseau loup officiel, les chiens n’ont pas été vu à l’attaque, personne ne les a fait vomir pour rechercher les poils et soies présentes en cas d’attaque (tout comme dans les dents des chiens) ils ont été enfermés jusqu’à obtenir des crottes qui elles aussi, très curieusement ne présentaient aucun poil de moutons…

Nous expliquons cela durant les formations, à l’Observatoire du loup et François semble l’ignorer !

La journaliste était-elle informée de ces faits ! Non, puisqu’ils ne sont pas évoqués ! Élément encore plus curieux, elle ne nous a pas interrogé à ce sujet, peut-on croire que c’était « organisé » ?

On vous laisse seul juge des faits et ils sont ici :

https://observatoireduloup.fr/2018/09/29/presence-du-loup-en-bretagne-que-sest-il-passe-a-saint-mayeux/

A la lecture de cette réponse à l’infamie, chacun va pouvoir comprendre que les déclarations sordides de François de Beaulieu le sont vraiment !

Le loup en région parisienne dans la version de Francois :

« Cette association est composée de pseudos spécialistes qui assurent certaines choses et disent que, nous, nous ne savons pas. Nous, on reste factuel. […] Je ne vois pas quel serait l’intérêt de l’ONCFS de cacher des informations. »

Cette fois c’est à toi de te faire moucher mon cher François : prendre pour argent comptant les déclarations dans la presse relève d’une certaine naïveté. Je dois préciser que tu as lu « Sur la piste du loup en Bretagne » et que tu as donc reçu toutes les informations nécessaires sur ce dossier, mais tu choisis de les occulter complètement !

Nous allons donc te rafraîchir la mémoire vieux filou :

je cite page du 30 et suivante :

« Je fais une petite parenthèse à ce sujet car la campagne de désinformation

orchestrée en 2017 par l’officialité est assez remarquable en région

parisienne.Premièrement ,il faut expliquer que les premiers faits connus et

rapportés à l’Office, autorité morale financièrement autonome directement

concernée, sont datés de 2015 et n’ont fait l’objet d’aucune réponse. Comme

c’est malheureusement trop souvent le cas.

L’officialité n’aurait donc pas le temps de s’investir concernant les propos des

acteurs de terrain. Avant de présenter le principal fait de désinformation

pour lequel il faut se demander quel était son but, je précise encore qu’après

mes révélations au Parisien en collaboration avec une association lozérienne,

des faits de prédations sur des animaux domestiques ont lieu sur des ovins,

des caprins et un poulain qui fera l’objet de consommations deux nuits de

suite, en Essonne. Ces faits révélés à la presse sont repris, bien entendu, et

il faut être persuadé que des pressions sont immédiatement exercées de part et

d’autres, y compris de la part des ONG, afin de décrédibiliser mes actions ou

celles d’autres intervenants, comme Manoël Atman alors que nous

relèverons plus tard les pistes du loup, sans aucun doute possible, sauf pour

ceux qui souhaitent cacher les capacités du sauvage à disperser, sur les

chemins sablonneux ou boueux de la forêt de Rambouillet en 2017. Toutefois

le 1er mars 2017 Florian Loisy explique par une légende placée sous une

photographie d’illustration pour le moins spectaculaire que je lui ai fournie :

« Un poulain a été dévoré dans le sud de l’Essonne le 21 février. Les

associations affirment qu’il s’agit d’une attaque d’un loup. L’Office

national de la chasse et de la faune sauvage se veut plus prudent, mais

n’exclut pas totalement cette hypothèse. »

Depuis les nombreux faits et désinformations produits après nos révélations,

le sauvage est toujours présent en région parisienne, je vous rassure. En

groupe, je le confirme et on peut l’entendre hurler en fin de nuit dans le Parc

Naturel de la Haute Vallée de Chevreuse où il ne se passe rien officiellement,

je vous rassure encore.

Le fait déclencheur de mes communications sur le sujet est donc un constat

engagé sur un fait de prédation qui a eu lieu dans la nuit du 28 au 29

décembre 2016, sur deux chevreuils, en forêt de Rambouillet. Alors que nous

collectons des éléments depuis de nombreux mois, les premiers éléments

formels que nous avons recueillis à ce sujet des prédation-consommations

sont les suivants :

Une chevrette et un chevrillard semblent avoir été surpris à la couche,

vertèbres brisées et forte consommation sont vraisemblablement en rapport

avec un fait de prédation naturel, double a priori, car pour surprendre deux

chevreuils, au repos, distants l’un de l’autre de quelques mètres, cinq mètres

très exactement, le bon sens demande de se poser les bonnes questions. Ce

qui ne va pas être le cas de la part des intervenants officiels, et pour cause, ils

ne sont pas formés à la prédation du loup. Les constatations faites sont

néanmoins nombreuses. J’y reviendrais encore plus loin dans mon récit afin

de démontrer les dérives qui s’exercent au passé, au présent et peut-être,

encore, au futur !

Les deux cadavres ne comportent aucune trace de tirs, ni aucune trace de

collision, également, après dépeçage des proies et l’expertise des cadavres.

Des traces de lutte et de sang ont été relevées non loin de la couche. Le

chevrillard d’environ 15 kg a été saisi à la gorge, vertèbres et côtes brisées,

viscères rouges, foie, cœur, poumons, reins consommés, comme souvent en

présence du loup alors que l’estomac et les entrailles ont été écartés de la

proie. La tête a été emportée. Ici, je précise déjà que la prédation du

chevrillard est complètement caractéristique du sauvage. Nier ce fait serait

complètement stupide, toutefois l’emballement médiatique sur le sujet de la

présence du canidé prédateur des herbivores va confirmer une nouvelle fois

les travers habituels à ce sujet ! Il est remarquable de constater qu’une prise

d’immobilisation qui est presque indétectable pour un novice n’a pas été

remarquée par les techniciens. J’ai personnellement publié l’ensemble des

documents prouvant cet état de fait.

La chevrette a été saisie en haut du cuisseau. Après avoir localement dépecé

la proie, il a été constaté un large hématome et deux marques de crocs.

Espace inférieur à 50 mm entre les crocs du prédateur. Ce constat n’a pas été

engagé par les techniciens chargés de l’expertise. Un manquement

regrettable quand ils affirment un peu plus tard à la presse parisienne que

ces deux ongulés sont « morts de maladie ». Une maladie d’une bizarrerie

remarquable puisqu’elle laisse apparaître les stigmates d’une morsure.

L’ensemble des données est publié sur le site et ce dernier sera piraté et

entièrement détruit durant l’été suivant, y compris concernant les

sauvegardes planquées dans des serveurs dédiés. Une confirmation, cela va

sans dire que nos investigations et mes communications personnelles

mettaient à mal l’officialité régionale, locale et nationale, car il est bien

entendu toujours difficile pour les directions régionales ou la direction

nationale d’expliquer qu’elles ne savent pas ce qu’il se passe.

Mais revenons aux déclarations officielles, relayées par l’association Ferus,

toujours prête à expliquer, je cite :

« Le réseau loup de l’ONCFS a toutes les compétences pour s’exprimer à

ce sujet et nous nous rangeons à leur analyse »

Je souligne ici la naïveté des propos qui est assez remarquable, « toutes les

compétences », c’est inexact localement puisque les acteurs de l’officialité ne

sont pas formés à l’époque décrite, ces propos sont donc maladroits pour une

association qui prétend en ces termes défendre les grands prédateurs, je cite

strictement :

« première association nationale de protection et de conservation de l’ours

du loup et lynx en France. Toute l’actualité de l’ours, du loup et du

lynx. »

Cependant, alors que cette entité qui souhaite se placer sur un niveau

national ne semble pas être présente sur le terrain parisien et pour cause,

nous en reparlerons plus tard dans ce récit, les faits sont expliqués

officiellement de la manière suivante :

Toujours sur le site même de l’association Ferus :

« L’ONCFS, chargé du suivi du loup et qui possède toutes les compétences

à ce sujet, a également démenti ces affirmations. Dans Le Monde du 16

janvier 2017, Eric Hansen, délégué régional ONCFS Centre, Val-de-Loire

et Île-de-France s’est d’ailleurs exprimé, notamment au sujet des deux

chevreuils retrouvés en forêt de Rambouillet (Yvelines) dans la nuit du 28

au 29 décembre 2016 : “Nous avons expertisé ces chevreuils, croyant à un

braconnage. Ils sont en réalité morts de maladie et ont été partiellement

consommés par un renard”

Je vous confirme que les crocs du rouquin sont écartés d’environ 25

millimètres pour une longueur égale. Peut-on croire que les ONG

désinforment sur le sujet de la présence du loup en France ? C’est une

question à se poser ! Alors que cette information officielle reprise par l’ONG

tient de la plus pure mésinformation. Nous y reviendrons ! Je précise que les

consommations du goupil sont souvent identifiables, il tire sur le muscle

après avoir retiré le poil et la peau et filoche le muscle à l’aide de ces

incisives.

La deuxième question à se poser est la suivante : Comment est-il possible

que deux individus de la même espèce tombent la même nuit, à la même

heure, au même endroit et de la même maladie ? C’est statistiquement très

improbable sauf à connaître des symptômes foudroyants concernant ces

deux chevreuils. Or la foudre n’est pas tombée à cet endroit et il faut alors se

demander quel est l’animal capable de surprendre deux chevreuils à la

couche et de nuit ? Cette logique n’a rien d’implacable, elle n’a de sens que le

bon sens pour qui aborde les milieux naturels fréquemment ! C’est aussi de

la pure logique. Concernant la Bretagne, cette même association qui semble

s’être investie d’une mission de contrôle de l’information concernant la

présence du sauvage en France, sous couvert des déclarations officielles,

nous explique le 25 septembre 2018, je cite complètement :

« Des médias ont relayé le probable retour du loup en Bretagne (une

observation aurait été réalisée, des indices retrouvés, des hurlement

entendus).

Pourtant, aux dernières nouvelles, il n’y a toujours pas d’indices de

présence de l’espèce dans cette région.Le groupe de personnes à l’origine de

ces allégations est le même que celui qui pensait déjà avoir la preuve du

retour du loup en Île-de-France en 2017. L’Office national de la chasse et

de la faune sauvage, chargé du suivi de l’espèce en France, avait alors

démenti ces déclarations abondamment relayées à l’époque,et l’affaire avait

tourné court évidemment.Des loups en dispersion finiront tôt ou tard par

atteindre la Bretagne, sans forcément s’y installer, n’en doutons pas. Mais

aucune preuve sérieuse ne peut affirmer aujourd’hui qu’ils y sont déjà

parvenus. La préfecture des Côtes-d’Armor l’indique également ;

l’ONCFS a vérifié. Rien de probant.

Le loup en Bretagne, ce n’est pas encore pour maintenant. »

Cette nouvelle communication, alors que les officiels ne sont pas formés et

que le réseau de veille officiel n’est pas en place en 2018 en Bretagne, est tout

à fait caractéristique du déni de présence habituel alors que de nombreux

faits de prédations sur des animaux domestiques s’en suivent peu après. Ils

sont largement décrits sur le site de L’Observatoire du Loup en 2018 et en 2019.

L’association Ferus n’est pas présente en Bretagne et communique

uniquement sous le couvert de déclarations officielles. Cet aveuglement

auto-infligé me semble assez étonnant. Je constate que faire de la politique

n’est pas faire de l’écologie.

Peut-on croire que cette communication pour le moins nauséabonde

corresponde aux réalités naturelles et qu’elle soit totalement empreinte d’un

dogmatisme ravageur dont les résultats obtenus en France sur ce que

l’officialité en place nomme comme étant le front de colonisation se résume

ainsi : pas de budget, pas d’investigation, pas de loup donc pas de budget,

pas d’anticipation et donc pas de cohabitation réfléchie possible ?

Je laisse le lecteur seul juge des errances intellectuelles orchestrées par les

ONG sur le sujet en général ! L’absence de preuve n’étant pas la preuve de

l’absence, je vais le démontrer tout au long du développement de ce récit.

Peut-on croire que certaines ONG soient prêtes à avaler les couleuvres les

plus longues, du moment, pour peu qu’elles soient officielles ? Quelles sont

les études produites par les ONG sur la problématique de la dispersion du

loup en France? »

Nos investigation étaient donc formelles ! C’est encore une évidence ! Je résume : tu n’as pas les compétences pour apprécier une situation de terrain en rapport avec loup c’est pourquoi tu te contentes de la version officielle, comme la majorité des témoins, c’est pourquoi nous existons ! Tu ne sembles toujours pas avoir compris…

A propos de tanière, nous somme justement sur un nouveau site en Bretagne, pour lequel les éléments sont les suivants :

« Un éventuel site de tanière utilisé en 2022 a été investi hier (bien vu J-Yves), chambre vaste, ossements (veau) et jouets présents (balle de golf (distance du golf 7km)/résidus cartouche…)…Lou va être mis à contribution pour retrouver plus d’éléments dans la repousse de la végétation, la présence du Canis lupus dans le secteur est avérée depuis janvier 2021 (hurlements etc…) Si le fait est confirmé, il peut prouver que le loup peut quitter sa zone d’installation pendant la période de reproduction si besoin…(2 zones de dispersion à proximité du site) »

Nous serons sur site demain avec Lou le chien renifleur en formation à l’Odl, si tu ne comprends pas, tu peux interroger Jean-Yves Aurégan et Patouterie et compagnie, voire son chien « Lou », ils t’expliqueront, tu vas encore tombé des nues !

Et je constate que tu bonimentes encore, ton avis n’est évidemment pas une référence :

la preuve :

https://www.enpassantparmalorraine.fr/a-propos-du-loup-un-livre-qui-informe-et-qui-derange/

Nous te conseillons de relire ce récit et tu pourras enfin te cultiver sur le sujet du loup en Bretagne et ailleurs !

Et pour finir :concernant tes déclarations frauduleuses:

« Ce seul point, récurrent dans sa communication, associé au secret qui plane sur toutes ses données ainsi que sur son mode de fonctionnement et son financement, devraient suffire à alerter sur sa fiabilité. »

Il n’y a aucun secret chez nous, tous les intervenants se connaissent, ils communiquent si ils le souhaitent les déclarations sont publiques et étayées, sur les réseaux sociaux et sur le site et dans les documents produits divers et variés, il suffit de travailler et de s’investir sur le terrain, ce que je t’invite à faire au plus tôt.

Quant à nos financements je t’invite à contribuer largement, ils sont connus et sur le site :

https://www.helloasso.com/associations/observatoire-du-loup

https://observatoireduloup.fr/2022/12/05/lobservatoire-du-loup-lance-une-campagne-de-dons/

Et Lilo.Org de fait ! Et de l’ensemble des adhérents et donateurs de l’Observatoire du loup que je remercie, au passage.

Contrairement à d’autres, ultra financés par la région Bretagne, nous ne coûtons rien au contribuable et nos fortes compétences compensent nos manques de moyens.

Dernière chose et j’en aurai fini avec toi :tu expliques,

« On aura compris qu’il est impossible de réfuter une par une les multiples erreurs et élucubrations volontaires ou non de l’Observatoire du loup (selon la loi de Brandoloni, il faut fournir beaucoup plus de travail pour réfuter des sottises qu’il n’en a fallu pour les produire et nous avons mieux à faire). Mais il était tout aussi impossible de rester silencieux plus longtemps compte tenu du besoin de clarté dans le débat sur le retour du loup en Bretagne. »

et évidement tu nous confirmes, ici, que tu es dans l’incapacité de démontrer l’inaptitude de l’Observatoire du loup à produire de la donnés ou de la culture sur les comportements du loup ! C’est encore un fait. L’ensemble de tes élucubrations vient d’être dissous dans les réalités du terrain que nous côtoyons tous les jours !

« Il y a des sottises bien habillées comme il y a des sots très bien vêtus. »

Peut-on croire que tu t’y complais ? C’est la question qui se pose !

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