SUR LA PISTE DU LOUP EN BRETAGNE

Le documentaire est en préparation et en cours de tournage, il sera présenté à la fin de l’automne 2020…

EN VERSION HD/:

https://www.youtube.com/watch?v=T7uKlazxr8s

 

 

 

 

 

22 commentaires sur “SUR LA PISTE DU LOUP EN BRETAGNE

  1. Bonjour ODL à combien d’unités pouvez vous estimer la population Lupine en Bretagne historique au 26 juin 2020?
    E.d.N

  2. Bonjour, un autre article intéressant sur les incidences subis par l’élevage en plein air. Dans ce cas précis, la famille proche de l’éleveur concerné devra seule en assumer les conséquences :

    https://www.lafranceagricole.fr/le-tour-des-regions/reg-0005-t-des-reg-tit-txt-maigre-lettrine-1,5,263627882.html
    https://www.lafranceagricole.fr/le-tour-des-regions/reg-0005-t-des-reg-tit-txt-maigre-lettrine-1,5,263627882.html

    À méditer

  3. J’ai répondu deux reprises sur ce sujet, je constate avec regret que malgré la forme correcte de mais observation mes commentaire sont filtrés alors que d’autres plus récents apparaissent avant ???
    Pour que le débat reste vertueux, il serait bien que chacun puisse s’exprimer sans craindre la censure, ne pensez vous pas ODL ?
    Merci

  4. Bonjour,
    Pour mieux comprendre l’incidence réelle de cette gabegie sur l’économie de notre pays, voici un article d’actualité trés éloquant sur les conséquences réelles sa présence dans les Vosges.

    PRÉDATION

    « Je vais arrêter la production ovine à cause des loups »

    Chez Romain Bigeon, le loup a attaqué deux fois durant la semaine du 24 mai 2020, il a tué une agnelle et a égorgé deux brebis. © R. Bigeon

    Dans les Vosges, aux confins de la Meurthe-et-Moselle, les attaques de loups ont redémarré depuis la fin du mois de mai. Romain Bigeon, dont le troupeau ovin, fait l’objet d’attaques récurrentes depuis cinq ans envisage de cesser cette activité.

    « J’en ai marre, je vais arrêter la production ovine », s’insurge Romain Bigeon, polyculteur-éleveur à Punerot, dans les Vosges. Depuis cinq ans son troupeau de brebis est régulièrement victime des attaques des loups. La semaine dernière, un loup a attaqué à deux reprises. Dans la nuit de mercredi 27 à jeudi 28 mai 2020, il a tué une agnelle de renouvellement, puis dans la nuit de samedi 30 à dimanche 31 mai 2020, il a égorgé deux brebis de 80 kg. Il est revenu de nouveau la nuit dernière pour tuer trois agneaux. En cinq ans, l’effectif de l’exploitation a fondu. Il ne reste plus qu’une quarantaine de têtes contre une centaine au milieu des années 2010.

    Le loup provoque l’affolement des brebis

    « J’ai surpris le loup en action, lors d’une attaque, explique Romain Bigeon. Il tourne autour de la clôture jusqu’à ce que les brebis s’affolent et qu’elles emportent le filet pour fuir. C’est ce moment-là que le loup les égorge. Il broie littéralement la trachée. » La production ovine sur son exploitation est complémentaire aux cultures et à deux troupeaux de bovins laitiers et allaitants.
    « Mon père adore cette production, mais si nous envisageons de l’abandonner c’est à cause de la conduite technique qui est de plus en plus difficile, déclare Romain Bigeon. La reproduction des brebis est fortement perturbée (baisse de la fertilité, désaisonnement) à la suite des attaques. « Il faudrait installer des clôtures de 2 m de hauteur à la place des filets classiques, pour protéger davantage le troupeau », estime l’exploitant. Des contraintes lourdes qui l’incitent à cesser la production.

    Le bilan des Vosges et de la Meurthe-et-Moselle

    « Depuis plusieurs années, la pression est importante dans ce secteur limitrophe de la Meurthe-et-Moselle, explique Dominique Candeau, conseiller en ovins à la chambre d’agriculture des Vosges. D’une année sur l’autre, le problème se décale d’un département à l’autre. »
    Selon les données officielles, les attaques ont doublé en Meurthe-et-Moselle en 2019,passant de 62 en 2018 à 122 en 2019. Dans le même temps, la pression a baissé dans les Vosges, puisque 51 attaques ont été reconnues imputables à canis lupus en 2019, contre 80 en 2018.

    Des soupçons autour des bovins

    L’animal laisse de nombreux indices derrière lui. Des pièges photo datent précisément le moment de son passage. « Il emprunte toujours le même chemin, déclare Romain Bigeon. Beaucoup d’entre nous l’ont aperçu. Je le soupçonne d’affoler les bovins également. À quelques reprises, j’ai été alerté par des voisins parce que mon troupeau de vaches se trouvait sur la nationale alors qu’il n’était jamais sorti de leur enclos jusqu’à présent.

    M-FM

    1. Alors que la nature est à l’agonie et que cette situation, entre autres facteurs, va entraîner l’humain vers son extinction, le retour du loup qualifié de « gabegie ». Les mots me manque pour qualifier l’aveuglement de certains. D
      Sans nature, il n’y aura pas d’économie… Aveuglement ? non, de l’ignorance et sa meilleure copine, la bêtise.

      1. Ce n’est pas parce l’organisation humaine est démesurée à bien des endroits de notre planète qu’il faut nier les bienfaits du pastoralisme. Je connais suffisamment la Nature pour vous affirmez quelle n’est pas à l’agonie et peux même se régénérer vite quand l’on cesse les excès qu’on lui inflige.
        Si la nature est polluée c’est souvent lié de prêt où de loin à la surpopulation humaine, cependant la présence où non du loup n’y changera rien !
        Par contre je maintiens que la gestion du loup en Europe est est une pure perte économique et qu’il faut pas avoir à en assumer les coûts pour défendre cette situation.
        L’arrogance et le mépris n’ont pas la vertu de faire avancer les débats mais est-ce que cela vous intéresse ???

    2. Nous avons alerté dès le début, de fait, il n’y a aucun moyen sérieux qui soient mis en place dans la plaine vosgienne ou dans le 54, il faut donc reconnaître que c’est aux instances de l’élevage de s’organiser, ça fait 10 ans que le loup est présent en meute en Lorraine, j’en conclue que ceux qui subissent la pression du loup en 2020 ont dormi sur leurs lauriers…

      1. Effectivement, je pense que vous entendez par moyens sérieux, des clôtures semblables à ceux d’un parc à loups !
        Seulement, il ne faut pas oublier qu’une telle installation coûterait plus que les 100 brebis de l’élevage en question !
        Restons sérieux, à l’heure où les consommateurs réclame des élevages en plein air respectueux du bien être animal, la seule solution technoco-economique viable serait donc de laisser les animaux en bergerie toute leur vie et de consommer de l’énergie carbonnée pour leur apporter l’herbe à l’intérieur ???
        Non, les réelles solutions à ce fléau n’existe malheureusement pas.
        Aussi c’est injuste de considérer que ceux qui travaillent plus souvent qu’à leur tour de l’aube au crépuscule « dorment sur leurs laurriers ».
        Merci d’éviter ces écarts méprisants

  5. Je m’excuse d’avance, mais il faut que j’aille hors sujet: Je ne comprends pas pourquoi on emploie ce mot Anglais teaser, il y a des mots et des expressions français qui peuvent dire la même chose. Le mot teaser veut dire en Anglais, taquiner, donc cela veut dire taquiner l’auditoire d’un prévu, d’un aperçu de ce qui va suivre. Alors pourquoi ne pas employer le mot taquinage pour traduire cette expression Anglaise, il y a trop d’anglicisme en français de la sorte et d’employer de telles expressions n’est autre que snobisme.

    P.-S. j’adore que les loups soient en France.

  6. Bon, il faut quand-même que quelqu’un le dise : il faut pas rêver des masses le teaser…
    Pourquoi montrer plusieurs fois ce gars dans l’obscurité avec sa lampe dans faire comprendre ce qu’il y fait ?
    Pourquoi cette séquence radio totalement inaudible ?

    1. Bon, il faut quand même le dire, ce n’est pas un teaser, c’est une présentation d’éléments, une annonce donc, de fait si il fallait expliquer toutes les scènes du futur documentaire, ce ne serait plus une présentation de 5 minutes, mais un documentaire de 50 minutes ou plus ou les scènes seront expliquées, il en est de même pour la bande son. En résumé, le « teaser » sera produit dans quelques semaines, je me permets de rappeler la définition de « teaser »:  » message plus ou moins énigmatique, dont le sens sera dévoilé plus tard. » J’en déduis que votre commentaire est directement en rapport avec cette définition…En attendant vous pouvez retrouver les éléments ici:
      « https://observatoireduloup.fr/2018/10/13/la-france-la-bretagne-et-le-loup-problematique-dune-cohabitation-reflechie/ »

    2. Je m’excuse d’avance, mais il faut que j’aille hors sujet: Je ne comprends pas pourquoi on emploie ce mot Anglais teaser, il y a des mots et des expressions français qui peuvent dire la même chose. Le mot teaser veut dire en Anglais, taquiner, donc cela veut dire taquiner l’auditoire d’un prévu, d’un aperçu de ce qui va suivre. Alors pourquoi ne pas employer le mot taquinage pour traduire cette expression Anglaise, il y a trop d’anglicisme en français de la sorte et d’employer de telles expressions n’est autre que snobisme.

      P.-S. j’adore que les loups soient en France.

  7. Trop hâte de voir ce reportage ! je suppose qu’il y a « matière », et merci bien pour ce difficile travail (bénévole) !
    Si vous apportez la preuve de la présence du loup en centre Bretagne (j’en suis quasi convaincu…)
    Je souhaiterais que les SPECIALISTES et surveillants officiels de notre belle nature, qui au fil des ans ne remarquent
    rien et ronronnent tranquillement dans les sous bois : DISPARAISSENT !!! Tous ces gens incompétents nous coûtent
    un bras… avec leurs beaux costumes et leurs armes rutilantes : C’est INSUPPORTABLE !
    Affirmatif !

    Bleizy 56

    1. Au 19 eme siècle, il n’y avait ni piège-photo, ni adn, une observation et un relevé de piste suffisait à confirmer la présence du loup alors que 100 000 domestiques étaient la proie du sauvage. L’Ofb, informé, sous couvert d’une scientificité établie qui n’est que rarement sur le terrain, a organisé le déni de la présence du sauvage dans toutes les régions de France. L’absence de la preuve formelle n’est pas la preuve de l’absence du loup. En tout état de cause cette « preuve » n’est pas notre objectif premier. Les faits parlent d’eux-mêmes et nier l’évidence est devenu le faire-valoir à l’inaction d’une administration en déroute dont les techniciens n’ont plus les moyens de faire le travail de terrain nécessaire à la compréhension de l’espèce…Informer, alerter, prévenir. Localiser : L’Observatoire du Loup a pour premier objectif la recherche d’informations précises sur la présence du loup. Cette collecte permet de suivre et de comprendre les développements et conséquences futurs des dispersions, d’individus isolés ou en meute et d’anticiper.

      Je précise qu’il m’est arrivé de garder « sous le coude » des preuves formelles, pour la simple raison que les déclarations ubuesques et officielles sur certains faits précis, (comme dans le Cantal par exemple, ou l’Ofb a parlé de chiens « errants » pendant un an) répétées de mois en mois ont permis à tout un chacun de comprendre le système de mésinformation mis en place. Tout comme en 1990 dans le Mercantour! Avec la complicité des Ong…

      Je précise que nous avons déjà fourni des éléments de preuve, ils sont classés « invérifiable », officiellement, tout comme de nombreuses observations de loups en groupe, là, ou il n’existent pas officiellement. Nous ne sommes pas les seuls à contester les déclarations officielles et les preuves exposées par des associations, y compris des associations de chasse sont sous-exploitées car elles ne sortent pas du giron officiel…C’est assez simple à comprendre je pense!

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