Sur le cadavre :
Profondes lésions,
prise d’immobilisation sur les membres postérieurs,
présence de morsures et lésions associées à la gorge avec surconsommation à la gorge, sans perforation visible,
lésions profondes sans broyage, peau retournée en chaussette,
les voies respiratoires sectionnées,
lésions profondes avec broyage à la gorge,
peau retournée en chaussette sur les membres,
présence de perforations à la gorge peu marquées, avec consommation,
perforations en majorité > à 3mm,
consommation de viande entre 5 et 10 kg (selon Boitani, les consommations se situent entre 2,4 kg et 4,7 kg, pour un individu seul),
consommation d’une épaule,
consommation après ouverture de la cage thoracique,
consommation des viscères thoraciques, avec ou sans la panse à proximité de la carcasse,
pas de consommation, en présence d’autres indices,
consommation totale avec présence de cotes brisée,
consommation, des côtes ou d’un gigot, et/ou de l’échine, totale ou partielle,
consommation des membres antérieures et/ou postérieurs, présence d’os longs brisés
panse non consommée, en présence d’autres indices,
hématomes associés aux morsures de mises à mort,
hématomes sans morsure associée, situé au poitrail de la proie, en présence d’autres indices,
prédation active attestée par la présence d’hématomes,
traces de lutte et de sang, en présence d’autres indices,
broyage des voies respiratoires ou lésions profondes des voies respiratoires,
présence d’os broyés suggérant l’intervention d’un prédateur de forte corpulence,
os longs brisés, avec consommation.
Sur le sol :
Sur les chemins alentours, empreintes formées ou non en voie, voire en piste dans la boue ou sur la neige. Féces de loup caractérisées par une forte odeur, un diamètre important, la présence de poils en plumeau, sur une extrémité de la crotte, parfois posée en amas. Présence d’os brisés, blanc, dans le substrat.
Sur les parcs ou îlots alentours, poils présents sur les barbelés ou végétaux.